25 novembre 2006
Après une sale soirée, une nuit terrible
4h26. Ça fait trois heures que je vire dans mon lit, rongée par la culpabilité, prise de bouffées de chaleur. Je viens de prendre mes médicaments. Je vais fermer le téléphone et espérer dormir longtemps... Quelle saloperie. Le goût de disparaître plus que jamais. Le goût de pleurer, mais pas de larmes. Pas de larmes depuis trop longtemps. Émotions cristallisées comme elle dirait. Pas moyen de les libérer, pas moyen de les expulser. Tout en-dedans. Ça s'accumule. Ça paraît dans mon humeur. Je suis à nouveau très irritable et ne venez pas me contredire, je risque de me fâcher. Eh oui, me fâcher. Et je me déteste dans ce temps-là. Allez les émotions, sortez, vous faites pas mal de dommage à l'intérieur.
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